dimanche 12 avril 2009

Notes de travail d’après "Apocalypse Now" de FF Coppola


Sur les traces d'Apocalypse Now...

De FF Coppola, librement adapté de « au cœur des ténèbres » de Joseph Conrad

 

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Ce n’était pas par hasard que je m’étais retrouvé lancé sur ses traces,

il n’est pas possible de raconter son histoire sans raconter la mienne

Et puisque son histoire est une confession,

Alors moi aussi...

 

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Chambre d’hôtel

Télévision

J’attendais quelque chose

J’entendais sa voix

« Je dois les tuer tous, les uns après les autres

ce sont eux qui tuent

comment doit on appeler ça

un assassin qui tue des assassins

je suis décidé à rendre justice moi-même »


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Pourquoi je restais scotché à lui

J’attendais une mission

HS

Alcool

Brise le miroir

Sang

Ensanglanté

On vient me chercher

Douche froide

Je hurle

 

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C’était avant un homme d’une humanité remarquable

Plein d’humour

Mais tout s’embrouille dans ce monde

Tout devient flou

Bizarre

(nous sommes dans un monde où la guerre règne, elle ne se voit plus comme avant, mais elle règne)

il peut alors paraître tentant de se prendre pour Dieu

il y a un conflit dans le cœur de chaque homme

l’irrationnel contre le rationnel

le bien contre le mal

il n’est pas sur que le bien triomphe.

La part de ténèbres,

chaque homme a son point de rupture

et il semble qu’il ai atteint le sien

et il est devenu fou à lier…

 

J’étais décider y mettre fin

par tous les moyens

c’était ça ma mission

 

J’ai d’abord cru que ce n’était pas le bon type

Son dossier

carrière impressionnante

peut-être trop parfaite

je ne croyais que c’était le même type que la voix à la télé

 

À la place du bateau, une voiture

je risque de morfler

pour apprendre qui on est, c’est mieux que de bosser dans une usine pourrie…

est-ce que j’étais prêt à aller jusqu’au bout ?


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vu son CV

il aurait pu devenir un homme important

mais il avait préféré devenir lui-même

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Il pleut

ici on dirait qu’il pleut toujours

 

Il disait :

« il y a deux hommes en toi

celui qui tue et celui qui aime

je ne sais pas si je suis un animal ou un Dieu »

Il était les deux à la fois.

« Être vivant, c’est tout ce qui compte.

il y deux hommes en vous, vous ne voyez pas ?

celui qui tue et celui qui aime… »

 

 

Une part de moi avait peur de ce que j’allais découvrir

mais j’éprouvais plus que tout

plus que la peur,

le désir de le voir en face.

 

Ça puait la mort lente

la folie

les cauchemars

j’étais bien arrivé au bout de la route…

 

 

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